Une bergère orpheline qui devient couturière avant de connaître la gloire littéraire (Marie-Claire, prix Fémina 1910): Marguerite Audoux (1863-1937) a connu un destin étonnant, que son musée retrace sur 240 mètres carrés, avec une toute nouvelle scénographie.
Bergère, puis couturière et enfin écrivain : Marguerite Audoux (1863-1937) a connu un destin exceptionnel, que l’exposition retrace ici sous un jour nouveau, avec les moyens scénographiques d’aujourd’hui. La collection unique et authentique de ses objets personnels jalonne le parcours : ses meubles, signés de Francis Jourdain, sa correspondance avec ses nombreuses relations artistiques, des manuscrits originaux, ses accessoires d’écriture, ses carnets de couture, ses tableaux et photos de famille. Orpheline, Marguerite Audoux, née Donquichote, fut placée à 14 ans comme gardienne d’agneaux puis servante dans une ferme de Sainte-Montaine. Son roman le plus connu, Marie-Claire (prix Fémina 1910), est fortement inspiré de sa vie en Sologne, une terre dont elle aura toujours la nostalgie.
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