En 1147, un acte cite l’église dépendant de l’abbaye Notre-Dame d’Issoudun. Cette église possède une vraie singularité et qui vaut le coup d’oeil, fait partie des très belles églises romanes du département.
L’édifice possède un chevet avec deux curieuses ouvertures circulaires, obturées à l’intérieur par la construction du cul-de-four de l’abside. Ces oculi surmontant la baie centrale, évoquent un visage humain. Les éléments qui entourent le chevet sont d’époque romane et les oculi semblent bien être de la même époque.
A l’intérieur, une arcade cintrée, montée sur des colonnes engagées, marque l’entrée du chœur, un second arc, reposant sur des colonnettes, amorçant l’abside.
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