Si Macau se tourne inlassablement vers les rives de l’estuaire, l’inspiration architecturale de ses bords de fleuve provient parfois de contrées situées à l’autre bout du monde.
On peut ainsi observer deux charmants petits kiosques qui braquent leurs regards sur l’eau.
Outre qu’ils nous offrent un joli point de vue sur la Garonne et le Bec d’Ambès, avec leurs chapeaux stylisés (un toit hexagonal en tuiles vernies qui se termine par une bordure en rais-de-cœur) ces « pagodes » de 1888-1889 évoquent pourtant l’Amérique latine!
Elles signalaient l’entrée de la propriété du château Biré dont les négociants Dussaud étaient les propriétaires, on sait qu’ils commençaient avec l’Argentine (à Buenos Aires on trouvait aux embarcadères des kiosques d’accueil très semblables) : c’est sans doute là qu’il faut chercher la clé de ce petit mystère !
Si Macau se tourne inlassablement vers les rives de l’estuaire, l’inspiration architecturale de ses bords de fleuve provient parfois de contrées situées à l’autre bout du monde.
On peut ainsi observer deux charmants petits kiosques qui braquent leurs regards sur l’eau.
Outre qu’ils nous offrent un joli point de vue sur la Garonne et le Bec d’Ambès, avec leurs chapeaux stylisés (un toit hexagonal en tuiles vernies qui se termine par une bordure en rais-de-cœur) ces « pagodes » de 1888-1889 évoquent pourtant l’Amérique latine!
Elles signalaient l’entrée de la propriété du château Biré dont les négociants Dussaud étaient les propriétaires, on sait qu’ils commençaient avec l’Argentine (à Buenos Aires on trouvait aux embarcadères des kiosques d’accueil très semblables) : c’est sans doute là qu’il faut chercher la clé de ce petit mystère !
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