Le site de Mazamas a été découvert par l’abbé Florentin Reix, curé de Bourg-Archambault et de Saint Léomer pendant une cinquantaine d’années. Historien et archéologue, il reconnaît le petit appareil dégagé en 1945, lorsque les pierres de 4 monticules, considérés comme les ruines du Château de Mazamas, sont utilisées pour réparer un chemin.
Edifié au 1er siècle, ce sanctuaire gallo-romain est construit en appareil régulier. Il comprend un mur d’enceinte, un propylée orienté à l’est et deux temples jumeaux à vestibule et cella carrées. Plus profondément enfouies, les bases d’un sanctuaire gaulois, datant de la seconde moitié du 1er siècle avant JC sont encore visibles.
Lieu de culte durant plusieurs siècles, le sanctuaire de Mazamas n’est pas associé à un vicus.
Classement aux Monuments Historiques en 1973.
Le site de Mazamas a été découvert par l’abbé Florentin Reix, curé de Bourg-Archambault et de Saint Léomer pendant une cinquantaine d’années. Historien et archéologue, il reconnaît le petit appareil dégagé en 1945, lorsque les pierres de 4 monticules, considérés comme les ruines du Château de Mazamas, sont utilisées pour réparer un chemin.
Edifié au 1er siècle, ce sanctuaire gallo-romain est construit en appareil régulier. Il comprend un mur d’enceinte, un propylée orienté à l’est et deux temples jumeaux à vestibule et cella carrées. Plus profondément enfouies, les bases d’un sanctuaire gaulois, datant de la seconde moitié du 1er siècle avant JC sont encore visibles.
Lieu de culte durant plusieurs siècles, le sanctuaire de Mazamas n’est pas associé à un vicus.
Classement aux Monuments Historiques en 1973.
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