L’histoire de Clairac est indissociable de celle de son abbaye bénédictine, dont la renommée était internationale au Moyen Âge. L’abbaye, ainsi que le bourg qui s’était constitué autour de ses murs, connurent leur apogée aux XIIème et XIIIème siècles. On comptait alors 120 moines qui travaillaient aussi bien aux champs que comme copistes de manuscrits. L’abbé de Clairac était aussi le seigneur du village et commandait deux bastides, cinq prieurés et une cinquantaine de paroisses. Les moines possédaient aussi deux moulins sur le Lot. Les revenus dégagés par l’abbaye étaient alors considérables.
Mais l’héritage le plus important est inattendu : le prunier de Damas, ramené des croisades, a en effet été ” enté “, c’est-à-dire greffé, par eux pour la 1ère fois. Ils ont aussi découvert le procédé de séchage au soleil, inventant d’un seul coup la prune d’ente et le pruneau d’Agen !
L’histoire de Clairac est indissociable de celle de son abbaye bénédictine, dont la renommée était internationale au Moyen Âge. L’abbaye, ainsi que le bourg qui s’était constitué autour de ses murs, connurent leur apogée aux XIIème et XIIIème siècles. On comptait alors 120 moines qui travaillaient aussi bien aux champs que comme copistes de manuscrits. L’abbé de Clairac était aussi le seigneur du village et commandait deux bastides, cinq prieurés et une cinquantaine de paroisses. Les moines possédaient aussi deux moulins sur le Lot. Les revenus dégagés par l’abbaye étaient alors considérables.
Mais l’héritage le plus important est inattendu : le prunier de Damas, ramené des croisades, a en effet été ” enté “, c’est-à-dire greffé, par eux pour la 1ère fois. Ils ont aussi découvert le procédé de séchage au soleil, inventant d’un seul coup la prune d’ente et le pruneau d’Agen !
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