Les volontés de curetage faisant suite au classement de l’église n’ont laissé subsister du monastère bénédictin qu’une partie de son aile méridionale, objet de l’intervention d’un chantier bénévole de jeunes Macariens dès 1968. L’ancien réfectoire, les cellules supérieures et les celliers inférieurs ont ainsi retrouvé un usage à vocation culturelle. Les investigations archéologiques ont permis d’identifier un établissement gallo-romain et un monastère antérieur. Elles ont également confirmé l’utilisation du rempart comme mur de soutènement, permettant d’établir une terrasse artificielle et de racheter ainsi la forte déclivité du rocher originel.
Les volontés de curetage faisant suite au classement de l’église n’ont laissé subsister du monastère bénédictin qu’une partie de son aile méridionale, objet de l’intervention d’un chantier bénévole de jeunes Macariens dès 1968. L’ancien réfectoire, les cellules supérieures et les celliers inférieurs ont ainsi retrouvé un usage à vocation culturelle. Les investigations archéologiques ont permis d’identifier un établissement gallo-romain et un monastère antérieur. Elles ont également confirmé l’utilisation du rempart comme mur de soutènement, permettant d’établir une terrasse artificielle et de racheter ainsi la forte déclivité du rocher originel.
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