Ce village tire son nom de frêne (faia), confirmant ainsi qu’à la fin du XIè s., La Foye était couverte de bois, surtout de hêtres. Ce mot devient ensuite Faya Monacalis, la hêtraie des moines, puis plus tard La Foye-Monjault. Dès 1080, les religieux défrichent pour cultiver céréales et raisins. Le village produit longtemps le plus célèbre des vins du département consommé à la cour des monarques de France (François 1er, Henri IV) et d’Angleterre. François Rabelais s’en régalait. La mémoire de ce breuvage d’antan apprécié est ravivée par l’association des Fiefs viticoles, née en 2000, qui s’attèle, par exemple, à restaurer les cabanes de vigne, témoins de ce glorieux passé vinicole.
A voir : ancien prieuré St-Simon et St-Jude, château d’eau repeint en vert, puits, horloge à eau d’André Maret (1,60 de haut).
A faire : Foire aux vins et produits du terroir, le 2ème dimanche d’octobre.
Ce village tire son nom de frêne (faia), confirmant ainsi qu’à la fin du XIè s., La Foye était couverte de bois, surtout de hêtres. Ce mot devient ensuite Faya Monacalis, la hêtraie des moines, puis plus tard La Foye-Monjault. Dès 1080, les religieux défrichent pour cultiver céréales et raisins. Le village produit longtemps le plus célèbre des vins du département consommé à la cour des monarques de France (François 1er, Henri IV) et d’Angleterre. François Rabelais s’en régalait. La mémoire de ce breuvage d’antan apprécié est ravivée par l’association des Fiefs viticoles, née en 2000, qui s’attèle, par exemple, à restaurer les cabanes de vigne, témoins de ce glorieux passé vinicole.
A voir : ancien prieuré St-Simon et St-Jude, château d’eau repeint en vert, puits, horloge à eau d’André Maret (1,60 de haut).
A faire : Foire aux vins et produits du terroir, le 2ème dimanche d’octobre.
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