L’ensemble historique de la Miséricorde recèle la dernière apothicairerie montpelliéraine encore en place.
La pharmacie, constituée de deux salles (l’officine du 18ème et celle du 19ème siècle) contient une collection rarissime de pots de monstre, pots canons, cruches et chevrettes témoignage de plusieurs siècles de faïencerie montpelliéraine.
La chapelle aménagée en 1830 dans les anciens ateliers de la Monnaie est ornée de peintures illustrant l’histoire de la charité montpelliéraine, parmi lesquelles deux grands tableaux du choeur : La Charité de saint Vincent de Paul d’Eugène Devéria et Les Dames de la Miséricorde d’Auguste Glaize. D’autres toiles signées de Reynaud Levieux font de la chapelle un petit conservatoire de la peinture régionale du 17ème au 19ème siècle.
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