C’est en 1085 qu’un certain Archambaud III, vicomte de Comborn, à la suite d’une conduite indigne, fonda le monastère de Meymac. Ce fut d’abord un prieuré qui dépendait de l’abbaye d’Uzerche. Mais à la suite de l’intrigue d’un moine (le prieur Hugues de Besse en 1145) qui, de sa propre autorité, voulut ériger le prieuré en abbaye (couvent souvent de règle bénédictine) et s’en attribuer la direction, il y eut de longues discussions parfois très vives entre le cloître d’Uzerche et celui de Meymac. Le moine finit par céder mais le titre d’abbaye resta acquis (1146).
Jusqu’en 1824, l’abbaye est menacée et elle est sauvée par son classement en Monument Historique en 1840 par Prosper Mérimée et des campagnes de travaux à partir de 1846 contribuent à sa rénovation complète.
Le monastère fut ensuite vendu par lots. Il abrite aujourd’hui dans son aile Est la Fondation Vazeilles et dans son
C’est en 1085 qu’un certain Archambaud III, vicomte de Comborn, à la suite d’une conduite indigne, fonda le monastère de Meymac. Ce fut d’abord un prieuré qui dépendait de l’abbaye d’Uzerche. Mais à la suite de l’intrigue d’un moine (le prieur Hugues de Besse en 1145) qui, de sa propre autorité, voulut ériger le prieuré en abbaye (couvent souvent de règle bénédictine) et s’en attribuer la direction, il y eut de longues discussions parfois très vives entre le cloître d’Uzerche et celui de Meymac. Le moine finit par céder mais le titre d’abbaye resta acquis (1146).
Jusqu’en 1824, l’abbaye est menacée et elle est sauvée par son classement en Monument Historique en 1840 par Prosper Mérimée et des campagnes de travaux à partir de 1846 contribuent à sa rénovation complète.
Le monastère fut ensuite vendu par lots. Il abrite aujourd’hui dans son aile Est la Fondation Vazeilles et dans son
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