L’église, de construction romane, date du XIIème siècle. C’est un édifice avec une coupole sans dôme, aux arcatures géminées sous arcades et aux corniches saillantes. Elle comporte deux chapelles latérales, construites plus tard. Celle du sud est la plus ancienne, celle du nord ne remonte qu’à 1732 ; quelques habitants de la paroisse s’étaient engagés à financer les travaux en s’y réservant le droit de sépulture.
On enterrait certaines familles nobles sous les chapelles et des enfants sous la sacristie jusqu’en 1778. Pour des mesures d’hygiène, cette tradition a été supprimée en 1778. Les dalles de ces sépultures ont été arrachées à la Révolution et ont servi ensuite à refaire les marches de l’escalier.
On peut remarquer une croix restant sur la première marche. Emma Laffon et Michel Soulié ont offert un vitrail pour la chapelle du nord: St Michel terrassant le dragon, à l’occasion
L’église, de construction romane, date du XIIème siècle. C’est un édifice avec une coupole sans dôme, aux arcatures géminées sous arcades et aux corniches saillantes. Elle comporte deux chapelles latérales, construites plus tard. Celle du sud est la plus ancienne, celle du nord ne remonte qu’à 1732 ; quelques habitants de la paroisse s’étaient engagés à financer les travaux en s’y réservant le droit de sépulture.
On enterrait certaines familles nobles sous les chapelles et des enfants sous la sacristie jusqu’en 1778. Pour des mesures d’hygiène, cette tradition a été supprimée en 1778. Les dalles de ces sépultures ont été arrachées à la Révolution et ont servi ensuite à refaire les marches de l’escalier.
On peut remarquer une croix restant sur la première marche. Emma Laffon et Michel Soulié ont offert un vitrail pour la chapelle du nord: St Michel terrassant le dragon, à l’occasion
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