A l’origine, l’église romane du XIIe siècle consistait en une nef terminée par un chœur à trois pans, il en reste la totalité de l’abside, avec une partie des murs de la nef surmontée par endroits de corbeaux sculptés, ce qui confère une allure romane à l’ensemble. La voûte et trois chapelles proches du chœur, de style gothique datent du XVIe siècle.
A l’intérieur, figurent treize écus sculptés et quarante écus peints aux armes des Soudeilles du Lieuteret, des Ventadour et de la Famille de France. Vestiges rares à notre époque, trois « litres » se déroulent sur les murs – les litres sont des bandes noires peintes à la mort d’un Seigneur ou du Roi.
L’oratoire (Oradour en Limousin) abrite sous son toit à quatre eaux une croix de calcaire polychrome du XVIe siècle, classée Monument Historique, dont une face représente la crucifixion et l’autre la glorification de la Vierge.
A l’origine, l’église romane du XIIe siècle consistait en une nef terminée par un chœur à trois pans, il en reste la totalité de l’abside, avec une partie des murs de la nef surmontée par endroits de corbeaux sculptés, ce qui confère une allure romane à l’ensemble. La voûte et trois chapelles proches du chœur, de style gothique datent du XVIe siècle.
A l’intérieur, figurent treize écus sculptés et quarante écus peints aux armes des Soudeilles du Lieuteret, des Ventadour et de la Famille de France. Vestiges rares à notre époque, trois « litres » se déroulent sur les murs – les litres sont des bandes noires peintes à la mort d’un Seigneur ou du Roi.
L’oratoire (Oradour en Limousin) abrite sous son toit à quatre eaux une croix de calcaire polychrome du XVIe siècle, classée Monument Historique, dont une face représente la crucifixion et l’autre la glorification de la Vierge.
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