Après un long cheminement sur le sentier reliant Anzême à Glénic, on découvre une petite auge en granite qui recueille les eaux d’une source provenant des Bois de Valette. Cette fontaine à ciel ouvert est surmontée d’une croix d’une époque récente portant une représentation de Saint-Menour. Celui-ci était invoqué pour faire tomber la pluie. Des pèlerinages avaient lieu depuis l’église de Glénic : on plongeait une statue du saint dans la source tout en récitant des prières ‘Saint-Menour, Saint-Menour, si te ne fa plore aillours, fa plore au Pouzadour (nom du hameau à proximité)’. Pour offrande, on jetait dans la fontaine des pièces de monnaie. On venait aussi à la fontaine prier pour trouver un époux. Les jeunes femmes piquaient une épingle dans la croix de bois pour faire exaucer leur voeu. On raconte qu’elles pouvaient voir le visage de leur bien aimé dans l’eau de la fontaine.
Après un long cheminement sur le sentier reliant Anzême à Glénic, on découvre une petite auge en granite qui recueille les eaux d’une source provenant des Bois de Valette. Cette fontaine à ciel ouvert est surmontée d’une croix d’une époque récente portant une représentation de Saint-Menour. Celui-ci était invoqué pour faire tomber la pluie. Des pèlerinages avaient lieu depuis l’église de Glénic : on plongeait une statue du saint dans la source tout en récitant des prières ‘Saint-Menour, Saint-Menour, si te ne fa plore aillours, fa plore au Pouzadour (nom du hameau à proximité)’. Pour offrande, on jetait dans la fontaine des pièces de monnaie. On venait aussi à la fontaine prier pour trouver un époux. Les jeunes femmes piquaient une épingle dans la croix de bois pour faire exaucer leur voeu. On raconte qu’elles pouvaient voir le visage de leur bien aimé dans l’eau de la fontaine.
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