Cette bâtisse du XVIème siècle a appartenu dès le XVIIIème siècle à une famille de lissiers, la famille Corneille. Elle abritait une échoppe au rez-de-chaussée, des appartements et un atelier de tapisserie (l’atelier Corneille a tissé sous son toit de nombreuses tapisseries dont la vie de Jeanne d’Arc). La maison est complétée par une tourelle en encorbellement dont la toiture conique est recouverte de bardeaux de châtaignier. Cette tuile en bois est fréquemment utilisée en Limousin car le châtaignier est réputé imputrescible et détesté des araignées.
La façade principale comporte deux parties d’ordonnance différente. La plus importante possède deux étages dont les grandes ouvertures sont disposées régulièrement tandis que l’autre, moins large, possède trois fenêtres plus petites superposées au-dessus du rez-de-chaussée. Ces différences pourraient indiquer qu’il y avait primitivement
Cette bâtisse du XVIème siècle a appartenu dès le XVIIIème siècle à une famille de lissiers, la famille Corneille. Elle abritait une échoppe au rez-de-chaussée, des appartements et un atelier de tapisserie (l’atelier Corneille a tissé sous son toit de nombreuses tapisseries dont la vie de Jeanne d’Arc). La maison est complétée par une tourelle en encorbellement dont la toiture conique est recouverte de bardeaux de châtaignier. Cette tuile en bois est fréquemment utilisée en Limousin car le châtaignier est réputé imputrescible et détesté des araignées.
La façade principale comporte deux parties d’ordonnance différente. La plus importante possède deux étages dont les grandes ouvertures sont disposées régulièrement tandis que l’autre, moins large, possède trois fenêtres plus petites superposées au-dessus du rez-de-chaussée. Ces différences pourraient indiquer qu’il y avait primitivement
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