St-Liguaire vient de saint Léger, abbé de St-Maixent et évêque d’Autun au VIIè s., le patois local ayant déformé ce nom en Léodogaire.
Son abbaye bénédictine est fondée en 961 par Elbes, abbé de St-Maixent, à l’initiative de son frère Guillaume Tête d’Etoupe, 2ème comte de Poitou. Ses moines cultivaient les fertiles alluvions de la Sèvre, asséchaient le marais de Bessines et entretenaient l’écluse de La Roussille.
Maintes fois rebâti après les guerres de Cent Ans et de Religion, le monastère est vendu en 1791. La salle du chapitre du XVIè s. est l’un de ses derniers vestiges et 3 fragments d’os de l’unique reliquaire connu (St-Léger-du-Bois, diocèse d’Angers) sont donnés en 1962 à l’église Ste-Marie-Madeleine à l’occasion de son millénaire.
A voir aussi : les 2 clefs de voûte du cloître Renaissance représentant des têtes d’empereurs réutilisées sur le portail de l’école Ste-Macrine.
St-Liguaire vient de saint Léger, abbé de St-Maixent et évêque d’Autun au VIIè s., le patois local ayant déformé ce nom en Léodogaire.
Son abbaye bénédictine est fondée en 961 par Elbes, abbé de St-Maixent, à l’initiative de son frère Guillaume Tête d’Etoupe, 2ème comte de Poitou. Ses moines cultivaient les fertiles alluvions de la Sèvre, asséchaient le marais de Bessines et entretenaient l’écluse de La Roussille.
Maintes fois rebâti après les guerres de Cent Ans et de Religion, le monastère est vendu en 1791. La salle du chapitre du XVIè s. est l’un de ses derniers vestiges et 3 fragments d’os de l’unique reliquaire connu (St-Léger-du-Bois, diocèse d’Angers) sont donnés en 1962 à l’église Ste-Marie-Madeleine à l’occasion de son millénaire.
A voir aussi : les 2 clefs de voûte du cloître Renaissance représentant des têtes d’empereurs réutilisées sur le portail de l’école Ste-Macrine.
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