Situé sur la colline la plus haute de Magné, ce haut lieu saint du pays maraîchin est dédié à Macrine, patronne des bateliers et du monde agricole. Au XIIème siècle, la petite église est rebâtie. Sous la Révolution, elle est en ruines et vendue à Jacques Barré de Niort. Sa veuve en fait don à la commune de Magné en 1806 qui la reconstruit de 1867 à 1886 dans le style néo-gothique. En 2004, est inauguré un ex-voto en châtaignier à l’effigie de la sainte.
Depuis le Moyen Age, tous les 6 juillet, se déroule un pèlerinage qui perdure encore de nos jours. Arrivant de Marans, Maillé, Vix, Damvix, Arçais… par la vieille Sèvre et amarrant leurs barques près du gué de Magné, les pèlerins passaient par trois sources miraculeuses. Il ne subsiste aujourd’hui que la “fontaine de la Gravée des Trois Ormeaux”, érigée en 1845, à 1 km de la chapelle dans la rue du même nom.
Situé sur la colline la plus haute de Magné, ce haut lieu saint du pays maraîchin est dédié à Macrine, patronne des bateliers et du monde agricole. Au XIIème siècle, la petite église est rebâtie. Sous la Révolution, elle est en ruines et vendue à Jacques Barré de Niort. Sa veuve en fait don à la commune de Magné en 1806 qui la reconstruit de 1867 à 1886 dans le style néo-gothique. En 2004, est inauguré un ex-voto en châtaignier à l’effigie de la sainte.
Depuis le Moyen Age, tous les 6 juillet, se déroule un pèlerinage qui perdure encore de nos jours. Arrivant de Marans, Maillé, Vix, Damvix, Arçais… par la vieille Sèvre et amarrant leurs barques près du gué de Magné, les pèlerins passaient par trois sources miraculeuses. Il ne subsiste aujourd’hui que la “fontaine de la Gravée des Trois Ormeaux”, érigée en 1845, à 1 km de la chapelle dans la rue du même nom.
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