Point de vue depuis le chemin des Roches.
Elle est le siège de la justice locale relevant du marquisat de Dampierre et la maison de ville du seigneur. Mais, peut-être fut-elle un ancien fief possédé par une abbaye ; son nom découlant de “moniaterie” signifiant moine ?
Au XVIIè s., elle dépend de Jean de la Cassaigne, maréchal des armées du roi, puis de son fils Charles, capitaine des gardes du prince de Condé ; au XVIIIè s., de Michel-André de Lavault, marchand à Niort, puis de l’écuyer Jacques Grellet des Prades de Fleurelle.
Un nouveau château est bâti en 1806 près de l’ancienne demeure seigneuriale. Son parc thématique est détruit à la fin du XIXè s. Ne subsiste du plus important pigeonnier de Souché que la base. Partagé en deux par la ligne ferroviaire Paris-Bordeaux, le domaine est, plus tard, démantelé en lots ; le château transformé en appartements locatifs à la fin du XXè s.
Point de vue depuis le chemin des Roches.
Elle est le siège de la justice locale relevant du marquisat de Dampierre et la maison de ville du seigneur. Mais, peut-être fut-elle un ancien fief possédé par une abbaye ; son nom découlant de “moniaterie” signifiant moine ?
Au XVIIè s., elle dépend de Jean de la Cassaigne, maréchal des armées du roi, puis de son fils Charles, capitaine des gardes du prince de Condé ; au XVIIIè s., de Michel-André de Lavault, marchand à Niort, puis de l’écuyer Jacques Grellet des Prades de Fleurelle.
Un nouveau château est bâti en 1806 près de l’ancienne demeure seigneuriale. Son parc thématique est détruit à la fin du XIXè s. Ne subsiste du plus important pigeonnier de Souché que la base. Partagé en deux par la ligne ferroviaire Paris-Bordeaux, le domaine est, plus tard, démantelé en lots ; le château transformé en appartements locatifs à la fin du XXè s.
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