Situé entre l’église et le château de la Seigneurie, le logis est le bien, dans les années 1630, d’Antoine Creusé, père de Pierre, riche marchand calviniste installé à Niort, ainsi que “la maison de la bourgeoisie”, proche de Souché et dans la famille jusqu’en 1710. Puis, au XVIIIè s., il est le domaine de M. de la Borde de Saint-Offrange.
Le logis du XVè s. est remanié au XIXè s. Des vestiges subsistent : porte ogivale, escalier à vis, cheminée transformée en four à pain au XVIIIè s., cave voûtée, linteau blasonné des clefs de st Pierre et restes de la double enceinte rue du Vieux-Puits.
Ses anciennes tours de défense du XVIè-XVIIè s. (découverte de boulets) sont transformées en fuies : celles-ci étant caractéristiques d’une occupation par un propriétaire qui ne relève pas de la noblesse, car les trous de boulins ne descendent pas jusqu’au sol contrairement à celle de la Moujaterie.
Situé entre l’église et le château de la Seigneurie, le logis est le bien, dans les années 1630, d’Antoine Creusé, père de Pierre, riche marchand calviniste installé à Niort, ainsi que “la maison de la bourgeoisie”, proche de Souché et dans la famille jusqu’en 1710. Puis, au XVIIIè s., il est le domaine de M. de la Borde de Saint-Offrange.
Le logis du XVè s. est remanié au XIXè s. Des vestiges subsistent : porte ogivale, escalier à vis, cheminée transformée en four à pain au XVIIIè s., cave voûtée, linteau blasonné des clefs de st Pierre et restes de la double enceinte rue du Vieux-Puits.
Ses anciennes tours de défense du XVIè-XVIIè s. (découverte de boulets) sont transformées en fuies : celles-ci étant caractéristiques d’une occupation par un propriétaire qui ne relève pas de la noblesse, car les trous de boulins ne descendent pas jusqu’au sol contrairement à celle de la Moujaterie.
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