A 700 m. en aval de La Roussille, l’écluse actuelle est construite à l’emplacement d’un ancien gué qui, certainement au XVè s., a été aménagé en port d’embarquement pour le bois de marine destiné à bâtir des navires à Rochefort-s.-Mer ; les chênes de la forêt de Secondigny retenus étant marqué d’une fleur de lys et d’une ancre.
L’ingénieur des Ponts et Chaussées Laffore en 1847 et Joseph Maire à partir de 1851 proposent le creusement de canaux de redressement des vieux méandres de la Sèvre Niortaise en transperçant les coteaux. Les plans sont dressés en 1856. Seuls quelques petites courbes sont reprises formant de nouveaux ilôts et les écluses sont construites.
Celle de la Tiffardière, datant de 1860, est rénovée en 2017-18 pour une réouverture à la navigation sur le domaine public. Quant à sa maison éclusière, elle est vendue en 2008 à un riverain du moulin éponyme.
A 700 m. en aval de La Roussille, l’écluse actuelle est construite à l’emplacement d’un ancien gué qui, certainement au XVè s., a été aménagé en port d’embarquement pour le bois de marine destiné à bâtir des navires à Rochefort-s.-Mer ; les chênes de la forêt de Secondigny retenus étant marqué d’une fleur de lys et d’une ancre.
L’ingénieur des Ponts et Chaussées Laffore en 1847 et Joseph Maire à partir de 1851 proposent le creusement de canaux de redressement des vieux méandres de la Sèvre Niortaise en transperçant les coteaux. Les plans sont dressés en 1856. Seuls quelques petites courbes sont reprises formant de nouveaux ilôts et les écluses sont construites.
Celle de la Tiffardière, datant de 1860, est rénovée en 2017-18 pour une réouverture à la navigation sur le domaine public. Quant à sa maison éclusière, elle est vendue en 2008 à un riverain du moulin éponyme.
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