L’usage du pont en bois, bâti en 1853 en remplacement du bac, est interdit en 1896 suite à la rupture d’un madrier en chêne constituant le tablier, sous le passage d’une lourde charrette. L’actuel pont-levis métallique datant de 1901 supporte une charge de 10 t. Sa partie mobile permet de laisser passer les bateaux qui jadis empruntaient 9 écluses de Niort à Marans afin d’exporter du sel, du vin, des anguilles et de la poterie. En 1800, le préfet Dupin écrit : « Des marchands de Limoges et du Blanc venaient acheter les anguilles qu’ils emmenaient par 10 ou 15 charretées à la fois. Après les avoir fait mourir dans le sel, ils les livraient aux revendeurs, qui, dans les foires et marchés, les faisaient rôtir en plein air… ». La poterie de Magné était une vieille industrie locale qui fabriquait des articles utilitaires, décoratifs et de dévotion vendus aux pèlerins de Ste-Macrine.
L’usage du pont en bois, bâti en 1853 en remplacement du bac, est interdit en 1896 suite à la rupture d’un madrier en chêne constituant le tablier, sous le passage d’une lourde charrette. L’actuel pont-levis métallique datant de 1901 supporte une charge de 10 t. Sa partie mobile permet de laisser passer les bateaux qui jadis empruntaient 9 écluses de Niort à Marans afin d’exporter du sel, du vin, des anguilles et de la poterie. En 1800, le préfet Dupin écrit : « Des marchands de Limoges et du Blanc venaient acheter les anguilles qu’ils emmenaient par 10 ou 15 charretées à la fois. Après les avoir fait mourir dans le sel, ils les livraient aux revendeurs, qui, dans les foires et marchés, les faisaient rôtir en plein air… ». La poterie de Magné était une vieille industrie locale qui fabriquait des articles utilitaires, décoratifs et de dévotion vendus aux pèlerins de Ste-Macrine.
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