S’étirant en avant de la Broue d’Arçais, les deux villages-rues sont au début du XVIIIème siècle qualifiés de considérables par Claude Masse, ingénieur ordinaire et géographe du roi, signalant ainsi un important commerce fluvial. Leurs maisons possèdent une double exposition : sur la rivière menant au marais et vers les champs cultivés.
Le nom de la Rivière, quartier amphibie, est à lier à son appartenance au monde de l’eau.
Quant à Monfaucon, îlot habité dès l’époque celtique (mise au jour de haches en bronze), est au Moyen Age le siège de la seigneurerie des chanoines de Saint-Hilaire-le-Grand de Poitiers.
Son artère principale est la rue de la Venise Verte et l’embarcadère de Montfaucon correspond à l’ancien port communal en partie aménagé lors des Grands Travaux du Marais poitevin.
Le village conserve encore un petit patrimoine rural (four à pain, ponne, boulite, queue de bac…).
S’étirant en avant de la Broue d’Arçais, les deux villages-rues sont au début du XVIIIème siècle qualifiés de considérables par Claude Masse, ingénieur ordinaire et géographe du roi, signalant ainsi un important commerce fluvial. Leurs maisons possèdent une double exposition : sur la rivière menant au marais et vers les champs cultivés.
Le nom de la Rivière, quartier amphibie, est à lier à son appartenance au monde de l’eau.
Quant à Monfaucon, îlot habité dès l’époque celtique (mise au jour de haches en bronze), est au Moyen Age le siège de la seigneurerie des chanoines de Saint-Hilaire-le-Grand de Poitiers.
Son artère principale est la rue de la Venise Verte et l’embarcadère de Montfaucon correspond à l’ancien port communal en partie aménagé lors des Grands Travaux du Marais poitevin.
Le village conserve encore un petit patrimoine rural (four à pain, ponne, boulite, queue de bac…).
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