Lorsque Mlle Boisnot, dernière propriétaire, est décédée il y a environ 30 ans la surprise a été qu’elle avait légué l’ensemble de la propriété les 7 hectares aux affaires sociales du département, avec comme clause de laisser le parc ouvert au public. Ce qui a été fait et respecté. Aujourd’hui sa demeure accueille des adultes handicapés des Deux-Sèvres et le parc a été restauré et c’est un lieu de balade incontournable.
Aménagé au XIXe siècle dans le style de parcs paysagers à « l’anglaise », ce parc garde un aspect naturel et une végétation exubérante riche de plus de 500 espèces. Il s’étend le long de la rivière, l’Ouin. Un cheminement relie les deux extrémités du parc et offre aux visiteurs un lieu de repos et de promenade ombragée offrant une très belle vue sur la ville. Un petit édifice peu courant appelé « fruitier » servait à conserver et à stocker les fruits des vergers.
Lorsque Mlle Boisnot, dernière propriétaire, est décédée il y a environ 30 ans la surprise a été qu’elle avait légué l’ensemble de la propriété les 7 hectares aux affaires sociales du département, avec comme clause de laisser le parc ouvert au public. Ce qui a été fait et respecté. Aujourd’hui sa demeure accueille des adultes handicapés des Deux-Sèvres et le parc a été restauré et c’est un lieu de balade incontournable.
Aménagé au XIXe siècle dans le style de parcs paysagers à « l’anglaise », ce parc garde un aspect naturel et une végétation exubérante riche de plus de 500 espèces. Il s’étend le long de la rivière, l’Ouin. Un cheminement relie les deux extrémités du parc et offre aux visiteurs un lieu de repos et de promenade ombragée offrant une très belle vue sur la ville. Un petit édifice peu courant appelé « fruitier » servait à conserver et à stocker les fruits des vergers.
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