Eglise de plan rectangulaire composée de trois travées, deux pour la nef et une pour le chœur, reconstruite à la suite de la guerre de Cent Ans. L’ensemble est coiffé de trois voûtes angevines présentant un profil très bombé. Elle est datée du XVe siècle et est placée sous le double vocable de saint Pierre et saint Sicaire, l’un des Saints Innocents de Bethléem tué sur ordre du roi Hérode d’après l’Evangile selon saint Matthieu. Un fragment de la relique de l’enfant est précieusement conservé au sein de l’église dans une élégante châsse. Situé sur un des nombreux axes secondaires en provenance de Vézelay et menant à Saint-Jacques-de-Compostelle, saint Sicaire était vénéré par de nombreux pèlerins. Le XIXe siècle a vu son classement sur la liste des Monuments Historiques, mais aussi sa restauration par l’architecte Paul Abadie (1812-1884).
Eglise de plan rectangulaire composée de trois travées, deux pour la nef et une pour le chœur, reconstruite à la suite de la guerre de Cent Ans. L’ensemble est coiffé de trois voûtes angevines présentant un profil très bombé. Elle est datée du XVe siècle et est placée sous le double vocable de saint Pierre et saint Sicaire, l’un des Saints Innocents de Bethléem tué sur ordre du roi Hérode d’après l’Evangile selon saint Matthieu. Un fragment de la relique de l’enfant est précieusement conservé au sein de l’église dans une élégante châsse. Situé sur un des nombreux axes secondaires en provenance de Vézelay et menant à Saint-Jacques-de-Compostelle, saint Sicaire était vénéré par de nombreux pèlerins. Le XIXe siècle a vu son classement sur la liste des Monuments Historiques, mais aussi sa restauration par l’architecte Paul Abadie (1812-1884).
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