Fondée par Saint Gérard, abbé de la Sauve Majeure, elle est déjà mentionnée en 1130. Il s’agit d’un spécimen d’église rurale réduite à sa plus simple expression : une nef sans transept et sans abside, non voûtée et sans vitres. En 1979, Michèle Gaborit, historienne, montrait que les deux murs latéraux dataient du XIème siècle alors que l’appareil régulier roman comprenait la façade ainsi que le choeur. Au XIXème siècle, les habitants de Montarouch avaient demandé d’utiliser les ruines de St Germain pour construire une chapelle dans l’église de St Jean de Jérusalem mais ce projet ne fut pas accepté et l’église de St Germain tomba davantage en ruine.
Fondée par Saint Gérard, abbé de la Sauve Majeure, elle est déjà mentionnée en 1130. Il s’agit d’un spécimen d’église rurale réduite à sa plus simple expression : une nef sans transept et sans abside, non voûtée et sans vitres. En 1979, Michèle Gaborit, historienne, montrait que les deux murs latéraux dataient du XIème siècle alors que l’appareil régulier roman comprenait la façade ainsi que le choeur. Au XIXème siècle, les habitants de Montarouch avaient demandé d’utiliser les ruines de St Germain pour construire une chapelle dans l’église de St Jean de Jérusalem mais ce projet ne fut pas accepté et l’église de St Germain tomba davantage en ruine.
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