Au XIXe siècle l’exploitation de la pierre calcaire se développe. En 1848, dans un rayon de 50 km autour de Bordeaux, on comptait 583 carrières en exploitation. La pierre était transportée par des attelages de bœufs vers les ports les plus proches. Des bateaux à voile à fond plat chargeaient les pierres sur les “cales” inclinées en berges et, en s’aidant des marées, les apportaient sur les quais des Chartrons, le port de la Grave ou la place Royale (actuelle place de la Bourse), où elles étaient revendues.
A partir du XXe siècle, l’activité a fortement ralentie. Si certaines carrières ont été réutilisées comme champignonnières, la plupart ont été abandonnées. A Latresne, le sous sol est en fait truffé de galeries. Ici à la Seleyre, comme beaucoup d’autres endroits le long des coteaux, l’homme a su recycler ces galeries pour les habiter ou les utiliser comme lieux de stockage.
Au XIXe siècle l’exploitation de la pierre calcaire se développe. En 1848, dans un rayon de 50 km autour de Bordeaux, on comptait 583 carrières en exploitation. La pierre était transportée par des attelages de bœufs vers les ports les plus proches. Des bateaux à voile à fond plat chargeaient les pierres sur les “cales” inclinées en berges et, en s’aidant des marées, les apportaient sur les quais des Chartrons, le port de la Grave ou la place Royale (actuelle place de la Bourse), où elles étaient revendues.
A partir du XXe siècle, l’activité a fortement ralentie. Si certaines carrières ont été réutilisées comme champignonnières, la plupart ont été abandonnées. A Latresne, le sous sol est en fait truffé de galeries. Ici à la Seleyre, comme beaucoup d’autres endroits le long des coteaux, l’homme a su recycler ces galeries pour les habiter ou les utiliser comme lieux de stockage.
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