Ce puits Renaissance, seul vestige du château d’Odet de Foix, édifié au XVIe siècle et détruit au XVIIIe siècle, fut élevé par le maréchal de Saint-André qui avait racheté le château en 1549 et créé autour de l’édifice un jardin et un parc qu’agrémentait cette petite construction. Aux angles d’une margelle hexagonale s’élèvent des colonnes doriques cannelées sur les deux tiers supérieurs. Elles soutiennent un entablement dont la frise porte des roses et un glaive tranchant les nœuds d’un câble, illustration de la devise inscrite sur une banderole : Nodos virtute resolvo – (la valeur se déjoue des difficultés). Sur les ressauts de la corniche se trouvent des vases. Un dôme de pierre de taille à écailles supporte un tempietto sur socle carré, aux colonnettes ioniques. La date de 1551 est gravée dans un bloc surmonté d’un groupe sculpté figurant un personnage assis sur un monstre.
Ce puits Renaissance, seul vestige du château d’Odet de Foix, édifié au XVIe siècle et détruit au XVIIIe siècle, fut élevé par le maréchal de Saint-André qui avait racheté le château en 1549 et créé autour de l’édifice un jardin et un parc qu’agrémentait cette petite construction. Aux angles d’une margelle hexagonale s’élèvent des colonnes doriques cannelées sur les deux tiers supérieurs. Elles soutiennent un entablement dont la frise porte des roses et un glaive tranchant les nœuds d’un câble, illustration de la devise inscrite sur une banderole : Nodos virtute resolvo – (la valeur se déjoue des difficultés). Sur les ressauts de la corniche se trouvent des vases. Un dôme de pierre de taille à écailles supporte un tempietto sur socle carré, aux colonnettes ioniques. La date de 1551 est gravée dans un bloc surmonté d’un groupe sculpté figurant un personnage assis sur un monstre.
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