Il se situe à 3 km à l’est du bourg de Saint-Germain-d’Esteuil, sur un plateau calcaire allongé du sud au nord. De forme ovalaire, ce site domine une vaste étendue marécageuse, le marais de Reysson, en partie poldérisée au XVIIIe siècle. Les ruines qui s’étirent du sud (théâtre) au nord (temple), suivant la forme du plateau, sont celles d’une petite agglomération gallo-romaine qui couvrait environ 10 hectares. Elle s’est développée entre le milieu du Ier siècle et le début du IIIe siècle après J.-C, succédant à une agglomération des Ages du Fer dont des vestiges ont été mis au jour non loin du temple.Cette agglomération est probablement celle de Noviomagus, qui était avec Bordeaux (Burdigala) une des deux villes des Bituriges Vivisques (la cité dont Bordeaux était la capitale) selon le géographe Ptolémée, qui a vécu au IIe siècle après J.-C.
Il se situe à 3 km à l’est du bourg de Saint-Germain-d’Esteuil, sur un plateau calcaire allongé du sud au nord. De forme ovalaire, ce site domine une vaste étendue marécageuse, le marais de Reysson, en partie poldérisée au XVIIIe siècle. Les ruines qui s’étirent du sud (théâtre) au nord (temple), suivant la forme du plateau, sont celles d’une petite agglomération gallo-romaine qui couvrait environ 10 hectares. Elle s’est développée entre le milieu du Ier siècle et le début du IIIe siècle après J.-C, succédant à une agglomération des Ages du Fer dont des vestiges ont été mis au jour non loin du temple.Cette agglomération est probablement celle de Noviomagus, qui était avec Bordeaux (Burdigala) une des deux villes des Bituriges Vivisques (la cité dont Bordeaux était la capitale) selon le géographe Ptolémée, qui a vécu au IIe siècle après J.-C.
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