À la fois massive par sa forme cubique et modeste, d’une simplicité touchante. C’est dans cet édifice, qui jouxtait autrefois une commanderie templière et que le maire Philippe Dubeau imagine en salle de concert et d’expositions, que les ouvriers ont fait une sacrée découverte en 2016.
À la fois massive par sa forme cubique et modeste, d’une simplicité touchante. C’est dans cet édifice, qui jouxtait autrefois une commanderie templière et que le maire Philippe Dubeau imagine en salle de concert et d’expositions, que les ouvriers ont fait une sacrée découverte en 2016. En sablant les murs, ils ont fait apparaître des fresques, en l’occurrence les armoiries de la famille Pérusse des Cars. Des sondages laissent penser qu’il y a des peintures, datant probablement des XVe et XVIe siècles, tout autour de l’église, au sol pavé de tombes.
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