Dans l’église Saint-Martin, face à l’autel, quelques rares éléments romans, dont, à droite du chœur, une base de pilier sculptée pouvant représenter la luxure : un homme au sexe démesuré surmonté de deux serpents s’accouplant. À sa droite, un second personnage vêtu d’un pagne (Ève ?) avec deux oiseaux au-dessus. Cette sculpture rappelle étrangement celle de l’église de Ségus. Le linteau de la porte de la sacristie porte la date de 1656. L’autel en merisier est l’œuvre de l’artiste contemporain Albert Abadie. Pour la clef voir monsieur Joseph, le responsable des cloches, après la mairie, premier portail gris à droite.
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