Située en bordure du village, elle est intégrée au système de fortifications. Sa construction s’étend du XIIème siècle (la tour et son pigeonnier à boulins) au XVème siècle (face sud). Cette maison fut longtemps la propriété de la puissante et riche famille des Dalichoux de Sénégra, seigneurs autoproclamés de Boussagues, qui déléguaient leurs fonctions au bailli qui alors occupait cette habitation
Située en bordure nord du village, elle est intégrée au système de fortifications. Sa construction s’étend du XIIème siècle (la tour et son pigeonnier à boulins) au XVème siècle (face sud). Cette maison fut longtemps la propriété de la puissante et riche famille des Dalichoux de Sénégra, seigneurs autoproclamés de Boussagues, qui déléguaient leurs fonctions au bailli qui alors occupait cette habitation. Le dernier baron de Sénégra avait procédé à une restauration intérieure au début du XIXème siècle, sans pouvoir en profiter. D’Armandine de Sénégra, la maison passa à son illustre héritier, Henri de Toulouse-Lautrec, lequel n’y vint jamais (il en laissa la gestion à sa mère), mais son souvenir est resté, par l’histoire de son apparition à Sœur Delphine en 1914. Une communauté de 2 religieuses y fut entretenue (fin XIXème siècle) pour faire école aux enfants du village. La bâtisse fut ensuite abandonnée plusieurs décennies. La partie nord-est de l’édifice est du XIIème siècle.
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