L’église de Meilhan n’entre certainement pas dans la catégorie des « églises anciennes » dont l’AEAL s’attache depuis sa création à favoriser la sauvegarde et la mise en valeur. En effet, une restauration menée au début des années 1960 a fait disparaître le dernier témoin de ses origines, une petite fenêtre trilobée du xive siècle découverte alors dans le mur nord du chevet.
L’intérêt de l’édifice est ailleurs : il est dans l’introduction d’un nouveau parti architectural et décoratif qui a corrigé la banalité de l’architecture et lui a apporté un air de fête rayonnante favorable aussi bien au recueillement qu’à l’expression d’une liturgie vivante.
L’église de Meilhan n’entre certainement pas dans la catégorie des « églises anciennes » dont l’AEAL s’attache depuis sa création à favoriser la sauvegarde et la mise en valeur. En effet, une restauration menée au début des années 1960 a fait disparaître le dernier témoin de ses origines, une petite fenêtre trilobée du xive siècle découverte alors dans le mur nord du chevet.
L’intérêt de l’édifice est ailleurs : il est dans l’introduction d’un nouveau parti architectural et décoratif qui a corrigé la banalité de l’architecture et lui a apporté un air de fête rayonnante favorable aussi bien au recueillement qu’à l’expression d’une liturgie vivante.
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