La construction de la partie la plus ancienne de l’église Saint Jean-Baptiste remonte au XI ème siècle. L’église aurait été construite au XIIème s. sur le modèle de celle de Montfort. On y retrouve le même porche d’entrée au cimetière. Au XVIe siècle, deux collatéraux viennent agrandir l’église qui est alors couverte d’une belle voûte à liernes et tiercerons. Sur la clef de voûte de la nef, on lit: « l’an MVCXXXVIII ceste chapeles fut faicte ». La pièce maitresse du mobilier est le maître-autel de 1898 dont l’histoire est peu commune. Représentant des saints landais, il a été réalisé pour le chœur de la cathédrale d’Aire sur l’Adour. Il a été refusé puis installé dans une chapelle de la même ville puis à Poyanne vers 1930 et enfin installé à Poyartin vers 1960. Une peinture en bleu et blanc derrière l’autel de la vierge représente les 42 prisonniers revenant après leur libération.
La construction de la partie la plus ancienne de l’église Saint Jean-Baptiste remonte au XI ème siècle. L’église aurait été construite au XIIème s. sur le modèle de celle de Montfort. On y retrouve le même porche d’entrée au cimetière. Au XVIe siècle, deux collatéraux viennent agrandir l’église qui est alors couverte d’une belle voûte à liernes et tiercerons. Sur la clef de voûte de la nef, on lit: « l’an MVCXXXVIII ceste chapeles fut faicte ». La pièce maitresse du mobilier est le maître-autel de 1898 dont l’histoire est peu commune. Représentant des saints landais, il a été réalisé pour le chœur de la cathédrale d’Aire sur l’Adour. Il a été refusé puis installé dans une chapelle de la même ville puis à Poyanne vers 1930 et enfin installé à Poyartin vers 1960. Une peinture en bleu et blanc derrière l’autel de la vierge représente les 42 prisonniers revenant après leur libération.
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