Comme montée sur des échasses, elle est dressée sur la mer qui fonce sur elle, mais ne s’en émeut pas plus qu’un âne d’un coup de béret… disait le poète Césaire Daugé. Monument emblématique de la ville, édifiée à l’origine pour redresser le cours du Boudigau, elle symbolise le renouveau du port de Capbreton voulu par Napoléon III, après les longs siècles de déclin qui suivirent le détournement de l’Adour. Achevée en 1860, elle a subi depuis maints remaniements, affronté bien des tempêtes et fut même détruite à la fin de la guerre 1939-1945. Terminée par d’une lanterne d’une portée de 14 miles en 1950, elle fera encore longtemps la joie des promeneurs et des pêcheurs à la ligne.
Comme montée sur des échasses, elle est dressée sur la mer qui fonce sur elle, mais ne s’en émeut pas plus qu’un âne d’un coup de béret… disait le poète Césaire Daugé. Monument emblématique de la ville, édifiée à l’origine pour redresser le cours du Boudigau, elle symbolise le renouveau du port de Capbreton voulu par Napoléon III, après les longs siècles de déclin qui suivirent le détournement de l’Adour. Achevée en 1860, elle a subi depuis maints remaniements, affronté bien des tempêtes et fut même détruite à la fin de la guerre 1939-1945. Terminée par d’une lanterne d’une portée de 14 miles en 1950, elle fera encore longtemps la joie des promeneurs et des pêcheurs à la ligne.
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