La portée, Marie Denis, Airial du Saucissé – Sabres, 2013. Programmation : Didier Arnaudet.
Dans ce lieu chargé d’un passé oublié, d’un mystère, Marie Denis invite à retrouver, à imaginer les indices et les signes que le temps et l’histoire ont mêlés ou effacés. Son portail Art déco, en fer forgé, se dresse sans ostentation, entouré de chênes, dans l’élégante nudité de son vécu, comme la vigie familière d’une mémoire à partager, et s’entrouvre pour laisser libre cours aux échanges entre le réel et l’imaginaire, le visible et l’invisible, l’ici et l’ailleurs. Il est paré de tubes de carillon en inox, agencés dans un équilibre sonore et intriguant. Le moindre souffle de vent l’anime et l’emporte dans une phrase musicale, imprévisible, enchantée et donc légendaire, qui a la fragilité d’un rêve et la simplicité primitive d’une émotion.
La portée, Marie Denis, Airial du Saucissé – Sabres, 2013. Programmation : Didier Arnaudet.
Dans ce lieu chargé d’un passé oublié, d’un mystère, Marie Denis invite à retrouver, à imaginer les indices et les signes que le temps et l’histoire ont mêlés ou effacés. Son portail Art déco, en fer forgé, se dresse sans ostentation, entouré de chênes, dans l’élégante nudité de son vécu, comme la vigie familière d’une mémoire à partager, et s’entrouvre pour laisser libre cours aux échanges entre le réel et l’imaginaire, le visible et l’invisible, l’ici et l’ailleurs. Il est paré de tubes de carillon en inox, agencés dans un équilibre sonore et intriguant. Le moindre souffle de vent l’anime et l’emporte dans une phrase musicale, imprévisible, enchantée et donc légendaire, qui a la fragilité d’un rêve et la simplicité primitive d’une émotion.
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