Les arboricoles. Bertrand Dezoteux. Pavillon de l’Écomusée – Sabres, 2013. Programmation : Didier Arnaudet.
Cette installation est composée de cinq écrans et propose un voyage imaginaire, réalisé en images de synthèse, dans la forêt de pins maritimes à l’ère du numérique.
Chaque écran présente l’exercice ou le rituel auquel s’adonnent d’étranges créatures hybrides, issues des méandres de l’évolution, dans un temps incertain, pour traverser la forêt, puis au terme de ce périple, tenter de grimper à un arbre.
Chaque personnage possède une morphologie différente, et se dote ainsi de caractéristiques motrices singulières, et donc d’une manière unique de se déplacer et de s’adapter.
Chaque créature invente une pratique de la forêt, produit une expérience de son paysage rectiligne et tramé, en fonction de sa mobilité fluide ou laborieuse.
Les arboricoles. Bertrand Dezoteux. Pavillon de l’Écomusée – Sabres, 2013. Programmation : Didier Arnaudet.
Cette installation est composée de cinq écrans et propose un voyage imaginaire, réalisé en images de synthèse, dans la forêt de pins maritimes à l’ère du numérique.
Chaque écran présente l’exercice ou le rituel auquel s’adonnent d’étranges créatures hybrides, issues des méandres de l’évolution, dans un temps incertain, pour traverser la forêt, puis au terme de ce périple, tenter de grimper à un arbre.
Chaque personnage possède une morphologie différente, et se dote ainsi de caractéristiques motrices singulières, et donc d’une manière unique de se déplacer et de s’adapter.
Chaque créature invente une pratique de la forêt, produit une expérience de son paysage rectiligne et tramé, en fonction de sa mobilité fluide ou laborieuse.
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