Seul élément restant du couvent des Dominicains, fondé à Agen en 1249, l’église a été édifiée dans la seconde moitié du XIIIe siècle.
Elle se compose de deux nefs juxtaposées et séparées par une épine de 3 piliers formant une vaste salle rectangulaire dans laquelle la foule pouvait venir écouter les brillants prédicateurs.
Monument du début du style gothique, l’église conserve de belles traces de son décor d’origine, réapparu lors de la dernière restauration.
Elle fut le témoin de nombreux événement ayant marqué la vie de l’Agenais : le 9 août 1279, c’est dans ses murs que s’est tenue la cérémonie au cours de laquelle l’Agenais était officiellement restitué à l’Angleterre par Philippe le Hardi. En 1585, la reine Margot s’y installa et la transforma en citadelle. En mars 1789, c’est dans le couvent que furent rédigés pour Agen, les Cahiers de doléances de la Révolution.
Seul élément restant du couvent des Dominicains, fondé à Agen en 1249, l’église a été édifiée dans la seconde moitié du XIIIe siècle.
Elle se compose de deux nefs juxtaposées et séparées par une épine de 3 piliers formant une vaste salle rectangulaire dans laquelle la foule pouvait venir écouter les brillants prédicateurs.
Monument du début du style gothique, l’église conserve de belles traces de son décor d’origine, réapparu lors de la dernière restauration.
Elle fut le témoin de nombreux événement ayant marqué la vie de l’Agenais : le 9 août 1279, c’est dans ses murs que s’est tenue la cérémonie au cours de laquelle l’Agenais était officiellement restitué à l’Angleterre par Philippe le Hardi. En 1585, la reine Margot s’y installa et la transforma en citadelle. En mars 1789, c’est dans le couvent que furent rédigés pour Agen, les Cahiers de doléances de la Révolution.
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