L’idée d’un jardin toscan au sein de l’ancienne cité épiscopale d’Albas s’est imposée naturellement. Au Moyen-Âge, Albas a subi l’influence de l’évêque Antoine de Luzech. Lequel, lors de ses fréquents séjours en Italie, notamment à Florence, a introduit des éléments architecturaux issus de la Renaissance italienne dans les châteaux, églises et cloîtres qu’il érigea le long de la vallée du Lot.
Initié par l’association Albas Patrimoine qu’anime l’écrivain Jean-Pierre Alaux, et magnifiquement éclairé le soir, ce jardin qui domine la rivière, en contrebas du palais épiscopal (l’actuelle mairie), se veut un lieu de contemplation, de méditation et d’animation, accueillant concerts et conférences.
L’idée d’un jardin toscan au sein de l’ancienne cité épiscopale d’Albas s’est imposée naturellement. Au Moyen-Âge, Albas a subi l’influence de l’évêque Antoine de Luzech. Lequel, lors de ses fréquents séjours en Italie, notamment à Florence, a introduit des éléments architecturaux issus de la Renaissance italienne dans les châteaux, églises et cloîtres qu’il érigea le long de la vallée du Lot.
Initié par l’association Albas Patrimoine qu’anime l’écrivain Jean-Pierre Alaux, et magnifiquement éclairé le soir, ce jardin qui domine la rivière, en contrebas du palais épiscopal (l’actuelle mairie), se veut un lieu de contemplation, de méditation et d’animation, accueillant concerts et conférences.
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