La chapelle Sainte-Madeleine forme, avec l’ancien réfectoire, le seul bâtiment qui subsiste encore du monastère de Sainte-Enimie. Ce monastère, dont le rayonnement a marqué la région pendant plusieurs siècles, aurait d’abord été fondé au VIe siècle par saint Ilère.
La chapelle est construite dans un style roman très soigné qui porte la signature de son temps et de la richesse de ses constructeurs
La chapelle Sainte-Madeleine forme, avec l’ancien réfectoire, le seul bâtiment qui subsiste encore du monastère de Sainte-Enimie. Ce monastère, dont le rayonnement a marqué la région pendant plusieurs siècles, aurait d’abord été fondé au VIe siècle par saint Ilère. Rattaché à l’abbaye bénédictine de Monastier-sur-Gazeille (43) en 951, il est l’un des établissements monastiques les plus influents jusqu’à la Révolution.
La chapelle porte la signature de son temps et de la richesse de ses constructeurs : elle est construite dans un style roman très soigné, que l’on peut constater par la précision de l’appareil de la pierre calcaire utilisée, et par sa voûte en cul-de-four.
Elle est visible à travers la grille de l’entrée.
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