L’église paroissiale de fondation monastique sous le vocable de Saint-Martin est devenue une collégiale de chanoines laïcs en l’an Mil. Elle fut cédée aux moines bénédictins de Saint-Victor de Marseille qui la gardèrent jusqu’en 1789. Elle est l’un des plus bel édifice roman du Gévaudan.
Son plan est caractéristique des églises de pèlerinage avec collatéraux et déambulatoire.
L’église paroissiale de fondation monastique sous le vocable de Saint-Martin est devenue une collégiale de chanoines laïcs en l’an Mil.
Le doyen céda la collégiale aux moines bénédictins de Saint-Victor de Marseille qui la réformèrent et la conservèrent jusqu’en 1789. Elle est l’un des plus beaux édifice roman du Gévaudan.
Malgré les remaniements et adjonctions des XIVe et XVIIe siècles, il conserve son identité et notamment son plan, caractéristique des grandes églises de pèlerinage : une nef flanquée de collatéraux et une abside* pourvue d’un déambulatoire* sur lequel s’ouvrent des absidioles* rayonnantes.
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