Boulevard Leclerc, l’imposant monument aux morts où la Paix terrasse l’hydre de la guerre rappelle le martyre qu’a connu Roubaix, occupée entre octobre 1914 et octobre 1918. Un bas-relief montre des femmes emmenées par des militaires, comme plus de 8 000 « travailleurs volontaires » déportés. D’une grande sobriété, la statue porte la corne de l’abondance perdue durant l’occupation au cours de laquelle la cité industrielle a vu toutes les machines de ses usines transférées en Allemagne ou détruites.
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