« Quel glas pour ceux qui meurent comme du bétail ? Seule la monstrueuse colère des canons […]». Ainsi commence le poème « Hymne pour une jeunesse perdue » de Wilfred Owen. Comme beaucoup d’autres War Poets (poètes de guerre), Owen décrit dans ses vers son expérience de soldat et dénonce l’atrocité de la guerre. Le 4 novembre 1918, il est fauché en tentant de franchir avec sa compagnie le canal de la Sambre à hauteur d’Ors. Il repose aujourd’hui dans la carré militaire du cimetière du village.
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