Dans un jardin dominant les nécropoles environnantes, une large tranchée mène vers des sculptures de lumière. Elles évoquent les instants de paix que des soldats ennemis ont partagés lors de trêves comme celles de Noël 1914. Cent ans après, ce monument dédié à ces élans de fraternité pourtant interdits exhausse le vœu fait en 1915 par le caporal français Louis Barthas.
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