A l’emplacement de Garlin, se croisaient de longue date une voie de transhumance et une voie romaine. En 1302, la vicomtesse de Béarn renforce la frontière qui la sépare des terres anglaises en y créant une bastide. Celle-ci fut ceinturée par une palissade, un fossé – actuelle promenade des Embarrats – et un remblai ; on y pénétrait par 3 portes.
Au 16e siècle Garlin est un centre protestant actif.
Au 17e, les Capucins (dont l’ancien couvent borde la place), la ramènent au catholicisme.
Quelques maisons témoignent encore de l’architecture rurale du 17e siècle. Des encadrements anciens en grès contrastent avec ceux du 19e réalisés en calcaire.
La mairie est actuellement installée dans l’une des demeures du 17e, très bien restaurée, le Château de Hiton ; il tient son de Hiton de Conchez, capitaine huguenot anobli en 1691 par Henri IV.
Brochure détaillé du circuit en mairie.
A l’emplacement de Garlin, se croisaient de longue date une voie de transhumance et une voie romaine. En 1302, la vicomtesse de Béarn renforce la frontière qui la sépare des terres anglaises en y créant une bastide. Celle-ci fut ceinturée par une palissade, un fossé – actuelle promenade des Embarrats – et un remblai ; on y pénétrait par 3 portes.
Au 16e siècle Garlin est un centre protestant actif.
Au 17e, les Capucins (dont l’ancien couvent borde la place), la ramènent au catholicisme.
Quelques maisons témoignent encore de l’architecture rurale du 17e siècle. Des encadrements anciens en grès contrastent avec ceux du 19e réalisés en calcaire.
La mairie est actuellement installée dans l’une des demeures du 17e, très bien restaurée, le Château de Hiton ; il tient son de Hiton de Conchez, capitaine huguenot anobli en 1691 par Henri IV.
Brochure détaillé du circuit en mairie.
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