La paroisse a appartenu au XIIe siècle aux vicomtes du Labourd. L’église comportait dès le XIIe siècle un clocher pignon à arcades percé d’un portail tandis qu’un deuxième portail s’ouvrait dans la façade sud de l’édifice qui se terminait par un chevet plat. La tradition veut que ce portail pourvu d’un bénitier extérieur ait été réservé aux cagots, population jugée inférieure dans la société basque. Au XVe siècle, un escalier hors œuvre permettant d’accéder aux tribunes fut appuyé sur la façade sud. Au XVIIe siècle, l’église fut agrandie, à l’est par une abside à pans coupés cantonnés de contreforts ; à l’ouest par un porche. L’église servit de prison en 1794 et fut rendue au culte en 1795. Le porche abrite les dalles funéraires des desservants de la paroisse qui devaient à l’origine se trouver dans le chœur, aux XVIIe et XVIIIe siècles.
La paroisse a appartenu au XIIe siècle aux vicomtes du Labourd. L’église comportait dès le XIIe siècle un clocher pignon à arcades percé d’un portail tandis qu’un deuxième portail s’ouvrait dans la façade sud de l’édifice qui se terminait par un chevet plat. La tradition veut que ce portail pourvu d’un bénitier extérieur ait été réservé aux cagots, population jugée inférieure dans la société basque. Au XVe siècle, un escalier hors œuvre permettant d’accéder aux tribunes fut appuyé sur la façade sud. Au XVIIe siècle, l’église fut agrandie, à l’est par une abside à pans coupés cantonnés de contreforts ; à l’ouest par un porche. L’église servit de prison en 1794 et fut rendue au culte en 1795. Le porche abrite les dalles funéraires des desservants de la paroisse qui devaient à l’origine se trouver dans le chœur, aux XVIIe et XVIIIe siècles.
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