Situés à une altitude de 140 mètres, non loin du rebord du plateau calcaire, de nombreux « chirons » sont encore visibles au début du 20ème siècle. Deux dolmens très endommagés subsistent aujourd’hui, au sein de bosquets, au milieu des champs. Ils sont très apparentés à ceux d’Usson-du-Poitou, à proximité de là. L’un des deux dolmens était semble-t-il un dolmen à couloir et chambre quadrangulaire de type angoumoisin. Le tumulus qui protégeait ces sépultures préhistoriques a disparu depuis longtemps et le mobilier archéologique a été détruit, en grande partie à cause de fouilles clandestines. Toutefois quelques haches polies, un collier de perles en calcaire et des restes humains découverts in situ témoignent de l’usage funéraire et symbolique de ce type de construction.
Inscription aux Monuments Historiques en 1980.
Situés à une altitude de 140 mètres, non loin du rebord du plateau calcaire, de nombreux « chirons » sont encore visibles au début du 20ème siècle. Deux dolmens très endommagés subsistent aujourd’hui, au sein de bosquets, au milieu des champs. Ils sont très apparentés à ceux d’Usson-du-Poitou, à proximité de là. L’un des deux dolmens était semble-t-il un dolmen à couloir et chambre quadrangulaire de type angoumoisin. Le tumulus qui protégeait ces sépultures préhistoriques a disparu depuis longtemps et le mobilier archéologique a été détruit, en grande partie à cause de fouilles clandestines. Toutefois quelques haches polies, un collier de perles en calcaire et des restes humains découverts in situ témoignent de l’usage funéraire et symbolique de ce type de construction.
Inscription aux Monuments Historiques en 1980.
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