Le bâtiment, d’inspiration Renaissance, se distingue par un plan U, une façade bien rythmée, flanquée de pavillons latéraux et d’une porte principale surmontée d’une loggia, d’une horloge et du campanile. A l’intérieur, le vestibule ouvre sur un escalier monumental rappelant celui de l’opéra Garnier et met en scène l’ascension du visiteur vers la loggia. De ce balcon, il peut voir et être vu … Ainsi, la forme de l’édifice a autant de significations sociales que son décor. Deux grandes toiles de Puvis de Chavannes (1874) constituent les pièces maîtresses d’un abondant décor sculpté et peint, dédiées à l’histoire poitevine : la bataille de Charles Martel et Saint Fortunat lisant des poèmes à Sainte Radegonde à l’abbaye Sainte Croix. Dans le salon d’honneur, ancienne salle de bal, le vitrail, œuvre de Steinheil, représente Aliénor d’Aquitaine confirmant la charte de commune en 1199.
Le bâtiment, d’inspiration Renaissance, se distingue par un plan U, une façade bien rythmée, flanquée de pavillons latéraux et d’une porte principale surmontée d’une loggia, d’une horloge et du campanile. A l’intérieur, le vestibule ouvre sur un escalier monumental rappelant celui de l’opéra Garnier et met en scène l’ascension du visiteur vers la loggia. De ce balcon, il peut voir et être vu … Ainsi, la forme de l’édifice a autant de significations sociales que son décor. Deux grandes toiles de Puvis de Chavannes (1874) constituent les pièces maîtresses d’un abondant décor sculpté et peint, dédiées à l’histoire poitevine : la bataille de Charles Martel et Saint Fortunat lisant des poèmes à Sainte Radegonde à l’abbaye Sainte Croix. Dans le salon d’honneur, ancienne salle de bal, le vitrail, œuvre de Steinheil, représente Aliénor d’Aquitaine confirmant la charte de commune en 1199.
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