La place prend son nom de place du Pilori en 1307 et c’est ici que les malfaiteurs sont exposés à la foule afin de servir d’exemple. Lors de la prise de la ville en 1346 par les Anglais, le quartier est incendié et cet épisode marque le début du déclin économique de la place. A La Révolution, la guillotine y est installée et servira encore bien après ! Comme en 1822 où Jean-Baptiste Breton, dit Berton (1769 – 1822) général d’Empire qui s’illustra durant les campagnes napoléoniennes et complotiste contre Louis XVIII, car nostalgique de l’empire, est arrêté, jugé, puis guillotiné le 5 octobre. Ce dernier meurt en criant « Vive la Liberté ». En mémoire de ces dernières paroles, la place est rebaptisée place de la Liberté en 1900 et en 1903, La loge maçonnique y fait ériger une Statue de la Liberté éclairant le monde, copie réduite de l’œuvre de Bartholdi offerte à la ville de New York.
La place prend son nom de place du Pilori en 1307 et c’est ici que les malfaiteurs sont exposés à la foule afin de servir d’exemple. Lors de la prise de la ville en 1346 par les Anglais, le quartier est incendié et cet épisode marque le début du déclin économique de la place. A La Révolution, la guillotine y est installée et servira encore bien après ! Comme en 1822 où Jean-Baptiste Breton, dit Berton (1769 – 1822) général d’Empire qui s’illustra durant les campagnes napoléoniennes et complotiste contre Louis XVIII, car nostalgique de l’empire, est arrêté, jugé, puis guillotiné le 5 octobre. Ce dernier meurt en criant « Vive la Liberté ». En mémoire de ces dernières paroles, la place est rebaptisée place de la Liberté en 1900 et en 1903, La loge maçonnique y fait ériger une Statue de la Liberté éclairant le monde, copie réduite de l’œuvre de Bartholdi offerte à la ville de New York.
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