Ancienne cité fortifiée, Poitiers trône sur un éperon rocheux. Plusieurs tours témoignent aujourd’hui de ce riche passé médiéval. Ceinturé par deux rivières et autant de vallées verdoyantes, le centre historique est localement surnommé « le plateau ». Au sommet de ce vaste promontoire se dressent deux de ses plus beaux monuments, le palais des comtes de Poitou et l’église Notre-Dame-la-Grande. Au fil d’étroites ruelles, des hôtels particuliers de l’époque Renaissance se mêlent aux maisons à pans de bois du Moyen-Âge. La préfecture et l’hôtel de ville attestent d’un élan haussmannien au cours du 19ème siècle.
Quant aux deux parallélépipèdes de verre que vous apercevez, brillant de mille jaunes, sur le versant ouest, ils abritent toute l’année les spectacles du Théâtre Auditorium de Poitiers (TAP). Car celle que l’on surnomme « la ville aux cent clochers » est érudite, culturelle, festiv
Ancienne cité fortifiée, Poitiers trône sur un éperon rocheux. Plusieurs tours témoignent aujourd’hui de ce riche passé médiéval. Ceinturé par deux rivières et autant de vallées verdoyantes, le centre historique est localement surnommé « le plateau ». Au sommet de ce vaste promontoire se dressent deux de ses plus beaux monuments, le palais des comtes de Poitou et l’église Notre-Dame-la-Grande. Au fil d’étroites ruelles, des hôtels particuliers de l’époque Renaissance se mêlent aux maisons à pans de bois du Moyen-Âge. La préfecture et l’hôtel de ville attestent d’un élan haussmannien au cours du 19ème siècle.
Quant aux deux parallélépipèdes de verre que vous apercevez, brillant de mille jaunes, sur le versant ouest, ils abritent toute l’année les spectacles du Théâtre Auditorium de Poitiers (TAP). Car celle que l’on surnomme « la ville aux cent clochers » est érudite, culturelle, festiv
Laisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.