Un site archéologique installé à l’ombre d’arbres remarquables, sur une parcelle de 2000 m². On y découvre le fonctionnement d’une ferme gallo-romaine occupée dès le Ier siècle après J.-C., différente des villas généralement mises en valeur car, si la construction en pierre porte la marque de l’influence romaine, on a indéniablement affaire à une exploitation qui garde les caractéristiques des fermes gauloises.
Petites constructions autour d’une vaste cour quadrangulaire entouré d’un solide mur d’enceinte. La maison principale n’était pas celle du « maître » qui vivait probablement « en ville » mais plutôt celle d’un vilicus qui gérait la ferme.
Espaces réservés à l’habitat, ateliers, lieux de stockage, ainsi que les procédés architecturaux mis en œuvre sur le site grâce à des panneaux explicatifs pour une visite en parfaite autonomie.
Un site archéologique installé à l’ombre d’arbres remarquables, sur une parcelle de 2000 m². On y découvre le fonctionnement d’une ferme gallo-romaine occupée dès le Ier siècle après J.-C., différente des villas généralement mises en valeur car, si la construction en pierre porte la marque de l’influence romaine, on a indéniablement affaire à une exploitation qui garde les caractéristiques des fermes gauloises.
Petites constructions autour d’une vaste cour quadrangulaire entouré d’un solide mur d’enceinte. La maison principale n’était pas celle du « maître » qui vivait probablement « en ville » mais plutôt celle d’un vilicus qui gérait la ferme.
Espaces réservés à l’habitat, ateliers, lieux de stockage, ainsi que les procédés architecturaux mis en œuvre sur le site grâce à des panneaux explicatifs pour une visite en parfaite autonomie.
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