A la croisée du Poitou et de l’Aunis, Mauzé tire son nom de “Mauseacum” signifiant placé au milieu des eaux. Bâtie sur les rives du Mignon, la cité se développe autour du château seigneurial et proche d’un péage. Elle subit au XVIIè s. les Dragonnades à l’image du protestant Jean Migault, réfugié au Breuil-Barrabin, quartier de la ville. Le commerce des vins et des eaux-de-vie assure à la commune un essor économique majeur au XVIIIè s. Après la crise du phylloxera, minotiers et laitiers remplacent petit à petit tonneliers et charrons. Mauzé est aussi le berceau de l’aventurier René Caillié qu’elle honore chaque année.
A voir : le port du Mignon, les deux tours du château du XIIIè s. (privé), l’église St-Pierre (tabernacle du XVIIè s. classé), le parc de l’ancien Moulin à Drap (privé), le Vieux Moulin, le champ de foire et son kiosque à musique et la piscine “Les Colliberts”.
A la croisée du Poitou et de l’Aunis, Mauzé tire son nom de “Mauseacum” signifiant placé au milieu des eaux. Bâtie sur les rives du Mignon, la cité se développe autour du château seigneurial et proche d’un péage. Elle subit au XVIIè s. les Dragonnades à l’image du protestant Jean Migault, réfugié au Breuil-Barrabin, quartier de la ville. Le commerce des vins et des eaux-de-vie assure à la commune un essor économique majeur au XVIIIè s. Après la crise du phylloxera, minotiers et laitiers remplacent petit à petit tonneliers et charrons. Mauzé est aussi le berceau de l’aventurier René Caillié qu’elle honore chaque année.
A voir : le port du Mignon, les deux tours du château du XIIIè s. (privé), l’église St-Pierre (tabernacle du XVIIè s. classé), le parc de l’ancien Moulin à Drap (privé), le Vieux Moulin, le champ de foire et son kiosque à musique et la piscine “Les Colliberts”.
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