A la jonction de la Gâtine granitique et de la plaine niortaise calcaire, le village aux quatorze hameaux est traversé par trois anciennes voies antiques. St-Maxire découle certainement du nom déformé de st Mathias, apôtre de Jésus. Les venelles et l’architecture typique de ce bourg poitevin invitent à la flânerie près des lavoirs, moulins, logis et manoirs. Bâtie sur les bords de la Sèvre Niortaise, la commune célèbre chaque année le fleuve avec la fête des bateaux fleuris, procession de barques décorées chacune de 10 à 15.000 fleurs en papier et qui mobilise près de 400 bénévoles.
A voir : église St-Mathias (XIXè s.), château d’Oriou (fin du Moyen Age, privé), le Grand Portail (manoir), la Bobinière dite le Logis, le Colombier, maison de Croisette, escalier monumental de l’ancien château d’Espinasse, moulins à eau, trois lavoirs et “la pierre qui vire” (vestige d’un mégalithe).
A la jonction de la Gâtine granitique et de la plaine niortaise calcaire, le village aux quatorze hameaux est traversé par trois anciennes voies antiques. St-Maxire découle certainement du nom déformé de st Mathias, apôtre de Jésus. Les venelles et l’architecture typique de ce bourg poitevin invitent à la flânerie près des lavoirs, moulins, logis et manoirs. Bâtie sur les bords de la Sèvre Niortaise, la commune célèbre chaque année le fleuve avec la fête des bateaux fleuris, procession de barques décorées chacune de 10 à 15.000 fleurs en papier et qui mobilise près de 400 bénévoles.
A voir : église St-Mathias (XIXè s.), château d’Oriou (fin du Moyen Age, privé), le Grand Portail (manoir), la Bobinière dite le Logis, le Colombier, maison de Croisette, escalier monumental de l’ancien château d’Espinasse, moulins à eau, trois lavoirs et “la pierre qui vire” (vestige d’un mégalithe).
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